The Films of Akira Kurosawa, Third Edition, Expanded and Updated
A**R
A book of the films of a real master
I was first introduced to Kurosawas films in the early 70s and loved them. It is great to find a book that reviews and fills in the background on them. I originally had an earlier version which missed out his later films. An ex-partner threw it away. The only goood thing about that was it made me get this version.
A**R
Five Stars
great book
L**D
Sept très bons ouvrages sur Akira Kurosawa (au moins)
Célébration du centenaire de sa naissance oblige, 2010 est l'année Kurosawa dans un certain nombre de pays, des rétrospectives intégrales de ses films (à la Cinémathèque française, au BFI de Londres, etc.) à quelques nouvelles publications. Celles-ci sont généralement un apport appréciable aux livres sur le maître, mais sont le plus souvent en anglais. Faisons un tour rapide des ouvrages consacrés à ce géant du cinéma japonais.En français, le tour est vite bouclé, malheureusement, car deux des livres sur Kurosawa sont aujourd'hui épuisés: Akira Kurosawa d'Hubert Niogret et Akira Kurosawa d'Aldo Tassone sont tous les deux des ouvrages de qualité, qu'il est conseillé d'acquérir si vous les trouvez en occasion. Relativement fouillés, autant pour la partie biofilmographique que pour l'exploration des thématiques, leur texte est plus complet que celui de Charles Tesson , rédigé pour la collection Grands Cinéastes publiée conjointement par Le Monde et les Cahiers du Cinéma.Charles Tesson réussit néanmoins l'exploit de concevoir la meilleure synthèse de l'oeuvre et de son auteur en aussi peu de pages. De loin un des meilleurs ouvrages de cette collection, son Akira Kurosawa est un modèle d'analyse condensée: il fait rentrer tous les éléments nécessaires à la compréhension du contexte et de la confection des oeuvres dont il parle, tout en ne sacrifiant pas l'analyse, même partielle. Fort bien rédigé, faisant une utilisation très équilibrée des notes et des pages séparées permettant de développer certains aspects en parallèle (ex. Toshiro Mifune, Kurosawa et le film de sabre, etc.), ce livre est la priorité pour qui voudrait lire une première approche qui n'en serait pas moins très renseignée et pertinente. L'iconographie est bien choisie et souvent bien reproduite. Essentiel, malgré les limites inhérentes à ce genre de format.Réussir aussi bien le même type de synthèse, c'est ce qu'a tenté Peter Cowie dans un ouvrage paru cette année en anglais, Akira Kurosawa: Master of Cinema , pratiquement du double de taille, beaucoup plus épais et luxueux, mais dans lequel le texte, sans être secondaire, est quelque peu subordonné à l'iconographie. Celle-ci est il vrai à la fête, et l'on retrouve là les qualités et les défauts des 'beaux livres' à l'italienne: mise en page très aérée, parfois trop, avec des photos souvent coupées sur un bout de la 2ème page, mais aussi beaucoup de doubles pages, certaines très bien réalisées. Photogrammes, mais aussi peintures et dessins, extraits de storyboards: tous les talents picturaux de Kurosawa sont ici bien représentés. Le texte de Cowie est tout à fait complémentaire de celui de Tesson, et si certaines de leurs assertions se recoupent, ils n'insistent pas toujours sur les mêmes aspects. Pas toujours chronologique, le découpage de Cowie est parfois discutable ou un peu abrupt, mais ses chapitres sur les adaptations littéraires ou sur les éléments naturels au centre de l'oeuvre sont fort intéressants.Toujours en anglais, il existe un grand classique - qui en est à sa 3ème édition depuis sa 1ère parution en 1965 - écrit et mis à jour par le spécialiste du cinéma japonais Donald Richie, The Films of Akira Kurosawa . Même si quelques façons de procéder peuvent sembler quelque peu datées, cet ouvrage fait figure de somme. Moins richement illustré, les photos étant exclusivement en N&B mais fort bien reproduites dans l'ensemble, c'est le livre au texte le plus riche, dont tous les autres auteurs se sont évidemment inspirés. Séparer le synopsis, le traitement et l'analyse peut parfois sembler superficiel, mais il donne énormément d'éléments de contexte, cite beaucoup Kurosawa lui-même, étudie les choses de façon souvent pointue. Un classique à juste titre, et un livre essentiel si vous êtes anglophone.On sait que l'oeil de peintre de Kurosawa a fait des merveilles, les plans étant toujours travaillés autant pour le cadre et les lignes que les couleurs. Nombre de ses dessins préparatoires ont été exposés il y a quelque temps au Petit Palais et ont fait l'objet d'un beau catalogue: Akira Kurosawa : Dessins . Très émouvants: les dessins du film qu'il préparait, ce qui montre bien qu'il ne comptait pas s'arrêter à Madadayo , devenu testament par la force des choses.Au total, 6 ouvrages, dont 4 seulement sont encore largement disponibles, et 2 sont en français. Mais ces 4 ouvrages-là sont de grande qualité, quels que soient leurs limites et leurs défauts. Pour les mordus de Kurosawa, j'indique également le numéro de la revue Positif (n°461-462 juillet-août 1999), avec un dossier très riche réalisé quelques mois après sa mort, qui doit encore pouvoir se commander sur le site de la revue.ADDENDUM 05/2013 Depuis la rédaction de ce commentaire, un nouvel ouvrage a paru en français : Le cinema d'Akira Kurosawa d'Alain Bonfand. J'ai cru comprendre qu'il était des plus réussis, mais ne l'ai pas encore lu. J'ai en revanche lu l'étude consacrée par Clélia Zernik aux Sept Samouraïs, et la recommande très vivement : Les Sept Samouraïs de Akira Kurosawa : Chorégraphies (voir mon commentaire). Akira KurosawaAkira KurosawaCharles TessonAkira KurosawaAkira Kurosawa: Master of CinemaThe Films of Akira KurosawaAkira Kurosawa : DessinsMadadayoLe cinema d'Akira KurosawaLes Sept Samouraïs de Akira Kurosawa : Chorégraphies
S**N
Masterpiece
Great in depth dive on a wonderful career by a brilliant writer/director.
M**.
Simply offensive!
I can't believe someone ever could get this text published...its interest amounts to almost nothing (only a few quotations from A. Kurosawa's Autobiography do give some real information)...The whole book is only a synopsis of each film (some of them oddly misunderstood in basic aspects)...which makes it useless if you've already watched them, and if you haven't, it spoils the experience by revealing the whole plot and ending.Then, Richie gives his own opinion, interpretation and criticism of each film...to this point, the book was empty, but with this, it becomes simply offensive! He contradicts himself, often in the same paragraph, as he also contradits Kurosawa's reports about the films, shooting, actors, results, etc...Richie, eager to say something witty apparently at any cost, points at supposed, sometimes stilted and sometimes hackneyed symbolisms, everywhere (Kurosawa politely wrote a kind preface to this book, but did add to it that he doesn't always agree with Richie's statements on his work), while he despises most moments of emotion in these films...He intends to write an hermeneutic pseudo-philosophical textbook on something that isn't correctly approached by these means: film and art...And writes about his own reactions to the films, explaining his own (mysteriously restrained) tastes, which can't be of much interest to any reader interested in Kurosawa's work rather than in Mr. Richie...The book barely contains any information about the making of the films, conception of the idea and the script, etc, in any case much less than you can find in Kurosawa's interviews or own Autobiography.It lacks interest, reliability and respect to an unbelievable extend in a book...
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